31 décembre 2014

Mes voeux pour 2015

Voilà, mon dernier billet portait sur le sit-in pour réclamer la justice suite à la bavure policière. Je ne comptais pas rédiger un autre ou du moins jusqu’à maintenant si n’est que pour vous formuler mes voeux.

Je ne voulais pas terminer l’année sur mon blog en laissant un message terne. Après tout, une nouvelle année nait et il faut l’accueillir. Ça n’arrive qu’une fois. Évidemment, c’est l’unique fois que nous verrons le 01-01-15. D’autres actuellement sont hospitalisé, d’autres luttent entre la vie et la mort pour le voir certains encore, n’ont pas pu le voir. Il est donc évident de rendre grâce et de sacrifier à la tradition.

J’avais pour habitude de formuler des voeux à l’endroit des amis mais permettez-moi, je vous prie, de formuler cette fois-ci d’abord, les voeux à mon égard. N’y voyez point d’égotisme mais…bah je ne sais comment l’appeller. Bon allons-y. Je vais quand vous les formuler en premier.

Mes voeux pour vous

En ce début de nouvelle année, les premiers voeux que je m’envais vous souhaiter porteront sur la santé. En effet, l’on peut rien sans la santé donc, je vous souhaite une véritable santé de fer, bah elle ne se rouillera point, tout au long de cette année 2015.
Secundo, mes voeux de prospérité. Que vos activités prospèrent de même que vos entreprises.
Tertio, mes voeux de succès. Bon ça rejoint néanmoins le deuxième. Ensuite, la paix. Soyez artisant de la paix et elle régnera autour de vous.
Le dernier voeux est pour Mondoblog. À Mondoblog, je souhaite une longévité.
Enfin, ces voeux sont dédiés à tous les blogueurs béninois, tous les mondoblogueurs, à l’équipe de l’atelier des médias les blogueurs francophones et autres, Je nous souhaite, à tout un chacun de nous, une BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2015 HAPPY NEW YEAR 2015 XIN NIÀN KUÀI LÈ 2015, BONN ANÉ 2015 KALI CHRONIA 2015 COUDE WÉ YOYO 2015 AKEMASHITE OMEDETÔ GOZAMAISU 2015 FELIX SIT ANNUS NOVUS 2015. Bah en fin de compte, je crois que je vais une fois encore me tenir à formuler des voeux à autrui. Ah j’oubliais, beaucoup de femmes et beaucoup d’enfants.

Partagez

Commentaires